Bonjour,
Les tentative de réponse de la semaine dernière sur ce topics sur le sujet de l'amorcage des lampes au sodium (lampes couramment utilisé en éclairage public, mais inadapté à l'éclairage domestique du fait de leur lumière jaune orangée et de leur tres mauvais rendu des couleurs ) à été (bien involontairement et à regrets) une catastrophe , informatiquement parlant (3 pages passé à n'obtenir que des dysfonctionnements et des messages d'erreurs !) ... aussi je préfère en recreer un autre (ou essayer) qui à été remis ensuite a la suite !
voici donc un montage perso pour l'allummage des lampes au sodium haute pression.
tout dabord, rappellons que ces lampes sont des lampe à décharge, qui à froid , nécessite une haute tension à faible intensité pour amorcer l'arc (ordre de grandeur 1500 à 4000V) c'est le rôle de l'amorceur , puis une tension beaucoup moins forte, et limitée en courant à une valeur adéquate , pour alimenter et stabiliser l'arc une fois celui ci établi (ordre de grandeur 150V) c'est le role du ballast , enfin pour un bon facteur de puissance ainsi que pour avoir une faible impédance du réseau vis à vis des impulsions H T , le tout est complété par un condensateur...
Le tout est généralement réuni sur un chassis métallique , appellé platine ou appareillage d'alimentation , placé soit dans la lanterne en haut du lampadaire d'éclairage public, à coté de la lampe soit au pied du fut métallique du lampadaire ...
Le ballast est une simple self à fer à prise intermédiaire (normalement il faut celui spécialement prévu pour la lampe au sodium utilisée ...mais en pratique n'importe quelle self pour lampe à vapeur de mercure de puissance équivalente peut faire l'affaire )
le condensateur , du type papier huilé et prévu pour le secteur , n'est pas critique , et à défaut de celui spécialement prévu pour, un condensateur de démarrage moteur de machine à laver le linge fait généralement l'affaire
l'amorceur électronique , organe spécifique, indispensable, et hélas relativement difficile à trouver pour l'amateur , et non disponible sur le marché "grand public" risque d' être l'organe le plus "problématique" , mais on peut le faire soi même aisément...
En voici le schéma (désolé pour la qualitée, schéma grossièrement crayonné puis scanné ...)
amorceur shp sc red.jpg
Les éléments importants sont
R1 : résistance à couche métallique spéciale H T de 100k-ohms 2 W couche métallique (reconnaissable à leur corps de couleur bleue, exiger ce type)
C1 : condensateur de 0,18 µF 630 ou 1000V, Polypropylène , autocicatrisant
( marqué "KP" ou "MKP", corps bleu , exiger ce type )
Les autres composants sont moins critiques et peuvent être remplacé par des équivalents
Zelt