Module LED de 100W

[ribrack]

(bonsoir à tous) ...après l'avoir adaptée non pas à l'époque dans un dicroïque disons "déculoté " (comme je le fis plus tard pour autoriser le passage de 36 v 400W halogènes avant qu'on ne trouve finalement ces dernières en dicro) mais, en fait, au foyer du réflecteur alu spécifique qui équipait alors mes "Kalérama 2", et dans lesquels tronaient habituellement des ampoules 24v 250 W, cette HTI, et bien, disais-je, j'en ai été déçue, parce que la puissance, d'une part, m'apparaisait à l'usage très inférieure à "mes" 250w (qui sans doute devaient approcher les 300w ; en effet je les survoltais) et de l'autre que le résultat colorimétrique était pour moi inaceptable, littéralement catastrophique, les contenus d'écran étant devenus d'une extrême froideur. Une partie du registre, de la palette, était même escamotée mais ceci me donne envie de renouveller l'expérience, juste pour voir et m'en re-convaincre s'il en était besoin.
Je ne demanderais pas mieux, après tout, que d'avoir à me raviser....au nom de l'efficacité cinéchromatique.
Si ma mémoire est bonne, j'avais utilisé come ballast celui d'un lot de lampes avec montures complètes contenant balasts achetés aux "puces" de Montreuil, (faisant alors le coup; réflexe d'antiquaire), ayant sans doute équipé une boutique comme on en voyait poindre alors avec des éclairages blanc assez violent et novateurs pour l'époque, lesquels avaient été adoptés en premier lieu, me semble t-il par les fabriquants de prétap du marais et qu'on vit ensuite dans presque toutes les boutiques de fringues du monde qui se respectaient, montures à l'intérieur desquelles on trouve un bulbe sous enveloppe de verre écrasée aux extrémités et contacts opposés correspondant aux écartement des douilles R7S, des éclairages que j'utiliserai plus tard et jusqu'à aujourd'hui en photographie distorstatique (j'en ai une entre deux doigt en tapant alors qu'elle a le diamètre d'un cigare arrivant "directement" de Moscou -une vieille plaisanterie- je m'entraine à faire ça en me plaisant à l'idée que c'est en jouant du piano, comme St-JAMES, pianniste doté de seulement 6 doigts, jouant en tenant sa clope, à l'image de celui, époustouflant que je vis et entendis pour de bon dans un bar à bière : Le Picwick à Nantes, sans clope mais avec zéro doigt, (un lépreux ?) c'était, disons, vers 1978-80. C'est plus comme avant. J'envisageais donc sérieusement de récupérer le bulbe après avoir détruit la seconde enveloppe. Néanmoins, devant l'impossibilité pressentie à adapter le brûleur d'un iodure 150 ou 250 dans le foyer de l'un de mes petits réflecteurs en alu, j'y ai renoncé. J'attendais donc beaucoup d'un petit brûleur iodure simple enveloppe. J'ai du en rêver 6 mois avant de comprendre qu'elle existait. Cette HTI me paraissait être l'alternative idéale. Aussi les gens d'Osram qui avaient ressenti mon impatience et ma jubilation à vouloir l'adapter en vue de l'adopter, m'ont donc offert en échantillon la lampe qu'on voit un peu plus haut sur la photo. N'était-elle pas commercialisée au début autour, quand-même, des 1000 balles ?

[ribrack]

c'était en 1975 ou en 76. Je ne sais plus son nom.
Ne pourrait-on pas lancer un appel ? Il devait avoir la trentaine.