Je ne parviens pas à retrouver mon message rédigé hier

[ribrack]

Bonjour Zeltron
Je réponds à ton questionnement mais j'en avais déjà donné l'explication détaillée dans ce forum.
Je ne reviens pas ici sur l'intégralité du processus d'étirements et de contractions natives par explorations
de champs. Les éléments du décor sont placés dans la zone vaguement patatoîde tenant lieu de foyer
optique (le foyer d'un miroir déformant n'occupe plus en effet l'espace d'un point infiniment petit mais un
volume relativement indéfini). Ce décor est constitués souvent d'éléments hétéroclites (morceaux de
tissus, bouts de fayence, fils électriques (on ne se refait pas) etc, etc... installés sur un statif, avant
d'être placé sous un fort éclairage (iodures métalique 4x HTQI 250 s'il s'agit du Distorstat 3800 (pour
3800 cm2 de surface réfléchissante utile car j'utilise généralement du film ou un capteur aux
proportions homothétiques 2/3 - 3/3, un rectancle circonscrit dans un cercle, (donc) mais plus encore,
jusqu'à environ 4700 cm2, merci Pythagore mais j'ai la glegme de calculer, dès lors que les proportions
du film ou du capteur se rapprochent de 1 - 1 (à savoir, donc : du carré), par exemple, si j'utilise un boîtier
6x6 ou une chambre 4x5inch. Augmenter la taille du miroir du distorstat revient, comme en astronomie,
à améliorer d'autant la résolution de l'image (à niveaux de pollissages égaux, s'entend). J'étudie un distorstat
d'un diamètre de 280cm d'environ 11000 cm2. Avant d'inventer ces appareillages, je produisais des distorsions
natives sur les feuilles de Mylar aluminisées, un matériau très diélectrique utilisé notamment dans la composition
d'une majorité de condensateurs électriques, l'aluminure 2 faces constituant les armatures. Le Mylar joue dans le
condo moderne le rôle du verre de Jarre de Leyde, l'aluminure du vernis conducteur qu'on appliquait alors sur les
deux faces du verre de ladite jarre.

Peut-être Zeltron m'as tu répondu à mon message précédent en ne sachant pas que, finalement, je me ravisais ?
Néanmoins, si tu veux bien, et si ça ne te bouffe pas trop de temps, autant plaquer en vision directe l'intégral de
la coupure de presse. avec cette légende :
Richard Bertry nous présente l'une de ses inventions, le Distorstat 300
avec, en arrière plan, deux images produites avec cet appareillage.

Alors, mon petit mot d'anglais avec traduction ?
RB

[zeltron]

Bonjour,

j'essaye ce que tu dis ...mais compte tenu de la compression, et de la réduction du format de l'image appliqué pour que le fichier soit léger en kilo-octets , ça risque d' être illisible !



Richard Bertry nous présente l'une de ses inventions, le Distorstat 300
avec, en arrière plan, deux images produites avec cet appareillage.

zelt

[zeltron]

Bon, pour la coupure , intégrale et réduite, c'est bien ce que je craignais
(le fichier est léger ...mais c'est illisible )

Par ailleurs, et à propos de bouteilles de Leyde, il me semble que les armatures ne sont pas faite d'une peinture conductrice ( pas commes les lampes radio de la série "transcontinentale" rouges ou dorés , telle cette octode)


mais constitué d'un revétement fait d'une feuille d'étain ou d'une feuille d'or appliqué contre les parois de la bouteille ...

Quand aux deux images accompagnant votre distorstat sur la coupure de presse , je ne voyais pas du tout ce que ça pouvait être pour l'image de droite ...( en pensant éventuellement à une salade composée dans un saladier mais visiblement c'étais pas ça )
Quand à celle de gauche , je pensais à une photo de vous ( avec un bermuda à motifs blancs et noirs, posant torse nu pour montrer vos abdominaux musclés .. mais il aurais mieux valu ne pas la distordre pour juger )

Bon, je plaisante, et visiblement c'est rien de ce que j'imaginais ...
(ça serait plutôt comme divers menus objets quelconques observé dans un kaléidoscope ... sauf que l'effet est tres différent !)

zelt

[ribrack]

.... d'étain. (les armatures du condensateur). Je ne sais plus à vrai dire quand elles ont été remplacées sur
les bouteilles de Leyde par des vernis conducteurs. Il faut que je révise mes classiques ! Tiens, je vais essayer de
retrouver l'un de mes articles sur l'invention ou plutôt sur la découverte en 1745 (certes à moitié fortuite mais il
fallait déjà avoir l'idée de vouloir mettre de l'électricité en bouteille) et assortie pour l'expérimentateur d'une forte
commotion, du condensateur électrique, article, disais-je, tiré de mes chroniques sur l'histoire des découvertes
sur l'électricité et du magnétisme (et aussi de l'éclairage), ou je narre, en outre, l'expérience, je crois assez célèbre
de l'astronome Picard qui vers, je ne sais plus quand, au 17ème ? (on trouvera sûrement des précisions sur Internet),
produit une lueur en secouant un baromètre à colonne de mercure, entre autres observations qu' en bon scientifique,
il consigne méticuleusement, jetant ses successeurs sur les bases de recherches conséquentes puis, bien plus tard,
de l'industrie de la fabrication des lampes à vapeur de mercure destinées à l'éclairage public. Si je ne me trompe pas.....

Zeltron : et mon ptit mot d'anglais avec sa traduction ?
Le mien: unruly : dissipé

PS: Sinon, ces tubes des séries octales, novales, ici il s'agit plutôt ,apparemment, d'un exemplaire des séries
dites Américaines, si je ne me trompe pas. Je m'en souviens. Mon grand père détenait encore, un peu avant 1960,
l'un de ces récepteurs avec de grosses lampes dont la conception remontait certes à l'avant guerre mais qui sont restées
encore assez logtrmps commercialisées après l'évènement de cette nouvelle génération de tubes miniatures Miniwatt,
Dario, Phillips, Général Electric..jen oublie... On allait quand même pas jeter des récepteurs relativement récents
qui fonctionnaient parfaitement ! J'ai vu fonctionner, avenue des Gobelins à Paris, dans les années cinquante, alors que
je nétais encore à peine plus qu'un bébé, un téléviseur équipé de ces grosses lampes. Mon grand-père fut l'un des tous
premiers acquéreurs d'une télévision sur l'agglo dunkerquoise en 1955 ou en 1956, un modèle Arphone déjà équipé de
tubes miniatures. Je me souviens que Mr Moreau, dépanneur, grande, large et longue barbe grise de patriarche,
venait la réparer (souvent) avec sa deuche camionnette.

[ribrack]

peut-être une façon pudique de ne pas dire Américaine,
(à moins évidemment que les américaines c'en soient d'autres).

Ce rouge sang, quasiment république, est très impressionnant surtout sur
le fond bleu clair du forum couleur de chemise de ministre de l'intérieur, tout
ça avec le "blanc clair" derrière le tube, Brrrrrr, saperlipopette, c'est cocardier !

Je ne suis pas certain que mon humour soit d'un goût exquis
mais, ce dont je suis sûr, c'est que je vais me coucher.

Bonne nuit, Zeltron.
rb

[ribrack]

(je suis somnanbule)

[zeltron]

Bonjour,

ces lampes à 8 contacts latéraux recouverte d'une peinture conductrices dites transcontinentales , ne sont pas des lampes américaines mais bien europeennes , elles sont apparu entre 1934 et 1936 et ont été utilisé jusque au début des années 50...
Le nom "transcontinentales" devait évoquer la possibilité , avec les récepteur de l'époque équipé de ces tubes , du moins les premiers modèles avec la gamme OC (ondes courtes) de recevoir tous les continents .
Les numéros usuels , en réception radio, de ces tubes , étais : AK2,AF3, AF7, ABC1,AL2,AL4,AZ1 ou AZ4 (série dorée) ou étais : EK2,EK3,ECH3,EF5,EF9,EBC3, EBF2, EL3, EZ3, EZ4 ...(série rouge)
Ces tubes étaient aussi appellé "side-contact" du fait de leur contacts latéraux (voilà au passage pour le mot anglais du jour !)

Les lampes américaines de la même époque étaient en verre, clair ,sans métallisation, et avec 4, 5, 6 ou 7 broches , non latérales mais verticale à la base du tube, on as fait aussi de recepteur couvrant les OC avec ces tubes américains , et les numéros usuels étais : 24,35,47,51,58,2A5,80 (ancienne séries) ou 6A7, 6C6, 6D6, 6B7,75,42, 80S (séries plus récente)

J'espère que vous n'aurez pas mal pris mes évocations quelques peu humoristique disant que vous aviez "mis " dans votre "dirstorstat" des images d'une salade composé ou de vous torse nu (avec beaucoup d'imagination on aurais pu penser deviner un nombril et des abdos )

Quand aux télé des années 50 et leurs pannes fréquentes, c'étais souvent du à la finale lignes (une PL36 ou PL81 le plus souvent, tubes relativement peu fiables !) sauf sur les modèles dont la finale lignes étais une 807 (lampe américaine increvable ) ... Et c'étais une époque ou les dépanneurs TV avais intéret à avoir ...entre autre de bons abdominaux !
(en reprenant les effort exercé par la charge (par exemple une télé) les abdominaux contribuent à un meilleur maintien du tronc et à soulager la colonne vertébrale , et donc à éviter les maux de dos ... Les télés de cette époque pesaient entre 35 et 50 kg pour un modèle courant de dimension normale , voire plus pour un gros TV couleur a tubes et à grand écran !!!)

a bientôt

zelt

[ribrack]

.....vraiment très lourds. Certains devaient approcher 50kg (avec mon gabarit pas question
de descendre un escalier seul, avec). Rien ne surpassait à l'époque leur très spectaculaire
complexité. On comptait peut-être plus de tubes que de kg. Fallait voir aussi toute l'électronique
à nu autour de chaque lampe. Les CI n'ayant pas encore fait leur apparition, à peine y découvrait-on
quelques rares transistors, d'ou les foisons de condensateurs et de résistances, la chaleur dissipée.

Les premier TV Noir et Blanc étaient quand même encombrants de par leur proportions plus cubiques
fatiguant à transporter en solo même (s'ils n'étaient finalement pas très lourds). La Sté philips, par
exemple, a voulu s'attacher à rendre la tâche des livreurs et des dépanneurs moins ingrate en
supprimant carrément le transfo d'alimimentation, les filaments étant branchés en série, comme
une vulguère guirlande d'arbre de noël, de sorte, on connaissait tout de suite l'origine de la panne :
une lampe. Mais au fait laquelle ? Ben, euh.....
C'était parti d'une bonne intention. Réduire les coûts, le poids. Les tensions nécessaire aux anodes,
aux polararisations de grilles, et autres circuits étaient assurées à travers de costaudes résistances
de précision bobinées mais, on l'aura compris, ces téloches ont fait la fortune des dépanneurs.

Pas très loin, il y a un arbre....
La couleur a déboulé quand j'étais en apprentissage dans l'électroménager (66-67),
pour la petite histoire à St Pol sur mer, chez Canis, av de la République, au moment
où je commençais à acquérir une sorte d'instinct pour le dépannage des TV, N et B.
Le technicien d'atelier est alors passé, pour moi, du rang de gourou à celui de demi-dieu.

Cette digression sur les salades ou sur les abdos, d'ailleurs pourquoi m'en offusquerais-je (?)
m'en rappelle une autre. Lors du lancement de la chaîne couleur, la direction des programme
a requis, pour intituler cette nouvelle chaîne, la participation des téléspectateurs. Mon grand
père, Fernand Lebleu, a alors proposé "Salade de fruits", rajoutant aussi que la noir et blanc,
on pourrait bien l'appeler "Ragoût de navets". Et pourtant !

On est pas hors-sujet avec tous ces tubes, puisque
ça éclaire un peu... Chers téléspectateurs, bonsoir.
Sinon, ça ne cause pas beaucoup ici, à par nous.
RB

[K-RK-S]

Salut Zeltron, si tu veux que je te mette l'article en léger et lisible sur le forum, envoi moi le fichier par mail.

Ce topic à complètement dérivé de sujet lol

[zeltron]

Bonjour

@ k r k s : le fichier initial n'est pas le mien , et je n'ai que les versions "réduites" ou "trifouillée" du fichier montrant cette coupure de presse , et encore ... (d'autant plus que l'informatique s'est vautrée , d' ou des fichiers perdus ou corrompu !) le mieux est de le demander à l'initiateur de ce topics là

@ ribrack : on ne conptais , heureusement quand même, pas autant de tubes que de kilogrammes , mais ces vieux TV comptais souvent entre 18 et 25 tubes , c'étais déja beaucoup , et la chaleur dissippée ar tous ces tubes qui rougeoiaient la dedans faisaient de ces télés ... des chauffages d'appoints
Par ailleurs , comme à l'époque il y avais deux linéatures 819 et 625 lignes , il y avais soit divers contacts de commutateurs à clavier ou à galettes, soit des relais , pour la commutation des différentes linéatures, et , pour les anciens TV à tubes cathodiques à canons en delta et non-autogonvergent , tout une ribanbelles de potentiomètres pour les réglages des puretés et des convergences pour chaque linéature , commuté par la dite commutation, et à régler , sur 625 , et sur 819 , dans un ordre précis, pour bien faire aboutir les faisceaux d'électrons des canons rouge, bleu , et vert sur les luminophores correspondant à la surface de l'écran (ce qui en faisait de belles usines à gaz ... sur lesquelles on pouvait passer des heures ...pour peu qu'un gamin ait ouvert l'engin puis tourné au hazard quelques un des réglages !)

J'ai récemment été "sur autre topics" ou il est question de télévision ...beaucoup plus ancienne , sur un tout autre forum ou j' interviens aussi sous le pseudo zeltron ... et ceci bien qu'il s'agissais d'un forum de musculation !?

Zelt