Bonjour à tous.
J'ai voulu sortir un peu de cette chronique et suis allé sur les colonnes apparentées "Réalisation, bricolage, à vos fers". J'en ai profité pour poser la question ci dessous. Je la replaque ici car, en fait, , en répondre, sans le savoir, ou en poursuivant sur un thème occupé par Zeltron en 2006, jme suis perdu dans les couloirs du temps. Alors, ne sachant pas si elle allait être lue, cette question, en voici le second service.
Grand bonjour au passage au descendant d'A.Gérard ainsi qu'à Zeltron et je vais toudsuite visiter sa collection de lampes, (miam-miam.....)
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Salut,
Je sévi, depuis peu, sur ce site dans la rubrique "Histoire de l'éclairage à incandescence".
Le DMX m'intéresse à plus d'un titre. Je cultive un gros complexe depuis les années 85-87.
On commencait déjà, me semble t-il, à en parler, notamment sur les S.I.E.L. (salon international des équipements lumineux et D.I.S.C.O.R.M. où j'ai présenté mes productions: des projecteurs délivrant de l'animation chromatique (des inventions remarquées et salulées, ne soyons pas inutilement modeste, j'en ai bien le droit, par l'ensemble de la presse spécialisée: Sono magazine, Le technicien du film et de la vidéo, Sonovision et, moins glorieusement
iscothèque-service, Discothèques Club....)
Mais revenons au DMX. Ni entendant pas grand chose à l'informatique (un million de fois hélàs), n'étant alors pas même utilisateur, mais néanmoins curieux de ses fonctionnements et totalement noyé en la matière, (je tapais mes brevets sur une machine à écrire électrique à sphère), j'ai qmême presenti que j'allais devoir négocier un virage difficile... Les système de projecteurs de poursuite à miroirs asservis systèmes Caméléon, plus ou moins inauguré dans les tournée du chanteur Balavoine en apportaient la démonstration. (sauf qu'il ne s'agissait pas de cinéchromatique).
Bref, j'ai poursuivi ces recherches cinéchromatiques en essayant d'oublier la petite bête DMX ancrée dans mon cerveau, comme une grosse blate qui énerve, restant persuadé à juste titre, il est vrai, si si, qu'une l'imagerie cinéchromatique 100% analogique pouvait éclore réellement (la mission dont je m'étais investie) avant de jouir d'une longue existence. J'en reste aujourd'hui persuadé. Il faut vivre avec son temps.
J'ai tout juste compris qu'avec le DMX, il s'agissait d'un protocole, (donc) qui autorisait en outre le multiplexage (dans le fameux fil vert) et surtout, permettait, suprême raffinement, de transporter des trains de signaux numériques vers les équipement lumineux. Bip, bip Allo la terre, ici la Lune (?) ce qui était en effet bien pratique et la moindre des choses pour commander des moteurs pas à pas ou ce qu'on veut et pourquoi pas des LED, en effet. J'ai vraiment envie d'en savoir plus mais, j'y songe, avec goggle?
Entre deux, je n'ai guère eu le temps de me retourner sur ce fait d'histoire (le DMX), (même pas le temps de lire Sono Magazine) et le modeste électricien que je suis ne cesse de cultiver des tonnes et des tonnes de complexes vis à vis de ces moteurs intelligents et 2 sfameux protok.... Vais-je devoir pour de bon m'initier au graffset (est-ce encore pratiqué ?), me reprendre le choux avec les logiques combinatoire et séquentielle, devoir ré-apprendre à tranformer un schéma à contacts en logigramme puis en programme d'A.P.I. ?
Bref, si t'as (vous av) de l'infos et, surtout, pour me permettre de me déniaiser, des petits montages didactiques utilisant le DMX ou quelque-chose d'apparenté, sans avoir à acheter trop de composants dans une boutique d'électronique (rejoignant Diogène, je cultive notamment la pauvreté) comme de parait être souhaité par quelques-uns des rédacteurs de cette chronique, alors merci par avance.
Bonjour à Zeltron (à bientôt Z) au passage car je vois à l'instant qu'il a rédigé l'article suivant.
je voudrais d'ailleurs que ce message s'adresse également à lui
(comme aux autres participants 2 sforum).
En fait j'ai aluni ici tout à fait paraz, attiré par l'odeur du DMX, pratiquement sans avoir lu après, ni avant.
Richard de Dunkerque.