Bien le bonjour à tous.
Merci à JC_Omega d'avoir développé les deux topics si dessous, ce qui a attiré mon attention sur le forum via recherche g00000gles, type de forum que je cherchais depuis longtemps
et à Termi87 pour m'avoir mis le pied à l'étrier et expliqué en MP les méandres du forum
Suite au topic de JC_Omega
http://www.forum.led-fr.net/forum/viewt ... =83&t=1436
relatif au PT4115
et
http://www.forum.led-fr.net/forum/viewt ... =83&t=1098
Test du module de commande "RGB CONTROL BOX", j’ai eu un coup de cœur pour le module RGB.
Comme tout amateur passionné en électronique, j’ai démonté mon nouveau jouet et vais vous faire un topo de mon exploration vu que le schéma n’a pas été développé par JC_Omega.
Je me suis limité à la puissance, à partir des sorties du microcontrôleur SM894051 port (p1.8 p1.7 p1.6) présentation du module RGB+télécommande IR à 44 touches 12votls 2 AMP par canal. (12 volts oui mais pas pour longtemps).
Élaboration du schéma de la puissance à partir du circuit imprimé double faces
Relevé des tensions à différent point de fonctionnement à l’état passant ou bloqué.
Leds utilisés pour les tests (2X6)Cree XR-E Q5 Emitter on Premium Star (228LM at 1A)
Spécification du µcontroleur http://www.syncmos.com.tw/products_file ... 091013.pdf
Spécification de la mémoire http://www.datasheetcatalog.org/datashe ... 419_DS.pdf
Spécification du driver http://www.hz-dz.net/UploadFiles/2009527101530473.pdf
Pas trouvé de datasheet pour le mosfet de sortie

Pour celui qui est intéressé par le schéma format SDS et photos non compressée voilà le lien poids 15 mega.
http://www.partage-facile.com/A7ACIN8QF ... t.rar.html
Print coté soudures.
Il reste deux emplacements de libres pour une diode D1 et une résistance R2.
D’après le circuit, cela va en remplacement de la diodeD1 existante sur la face coté soudures.
Effectivement, la diode D1 est en série avec le + 12 volts et va alimenter le régulateur 78L05A.
Dans le cas de la suppression de D1 d’origine et l’adjonction de la résistance R2, 470 ohms 1W + la diode (D1 1N4007) on se retrouve avec un montage R2/D1 en série dans le but de limiter le courant à l’entrée du régulateur et passer en 15 / 24 Volts.
Je viens de Modifier le montage j’ai dessoudé D1, placer R2 470 ohms coté composant, et replacer D1 coté composant, tout est OK.
D’après le schéma, le +12 volt ne va que sur l’étage MOSFET et l’entrée du régulateur 78L05A.
Je dispose donc maintenant d’un module de 24 volts. 12 volts sur l’entrée du régulateur 78L05 et 24 volts sur le commun des LEDs.
Un strap sur la résistance R2 470 ohms permet de revenir à 12 volts (attention à ne pas se tromper).
print coté composants.
remarquez L'ajout d'un condensateur de 100 nano en rouge sur le mosfet de gauche entre le drain et la source sur la photo si dessus.
placez en un sur les deux autres mosfet aussi.
Je vous propose un fichier au format PSD Photoshop qui permet par transparence du calque supérieur de voir la majorité des connections du print .
Dans ce fichier Le circuit imprimé côté soudure est en mode miroir et donc inversé pour correspondre au connections du dessus et va vous permettre de suivre le schémas que j’ai développé à partir du print.
À télécharger sur le lien si dessous (53 méga).
http://www.partage-facile.com/MCJUVER5Y ... 1.rar.html
Schémas de l’étage drivers et de puissance MOSFET
Sur le 1er ) canal ( R ) vous trouverez les informations sur les tensions de fonctionnements repos / actif
Le schéma démontre la simplicité de l’étage de sortie, mais pas sans quelque inconvénient.
Mon radiateur de test : le câblage des LEDs est volontairement fait avec du fil souple et généreux au niveau des connections car je dois faire des test avec un U en aluminium de 1,5 mètres plus tard.
La résistance du fil de câblage par rampe de LEDs est de 2 ohms.
Fonctionnement de l’étage de puissance en 24 volts
La sortie du microcontrôleur passe a (0Volts) ce qui bloque le transistor driver S8050.
De ce fait la tension de 5 volts est présente à son collecteur via R11,
R11 qui alimente la porte (gate) du MOSFET de L’étage finale qui à son tour entre en conduction en faisant passer le drain à ( 0 Volts ),ce qui alimente la barre de LEDs.
Le positif étant le commun (anode commune).
À l’origine, pas de condensateur entre les sorties (drains) MOSFET et la masse.

L’écrêtage est évident .
Calibre de l’oscillo est de 5 volts/graduation, et le time de deux millisecondes/division.
Après ajout d’un condensateur de 100 nanofarad type drapeau entre LE DRAIN ET LA SOURCE, et tout rentre dans l’ordre

pour le non initié,pour un mosfet de type N la source est raccordée au négatif et le drain au positif via les LEDs
quand le circuit de commande envoi du 5 volts sur la porte (gate) c'est la même chose que de faire fonctionner un interrupteur et le couple drain/source sont en court circuit virtuel.
L’oscillogramme met en évidence une horloge à 9 millisecondes dont la largeur d’impulsion est réglable par (X 1/64e de pas) et fais conduire plus ou moins longtemps le mosfeet (via les flèches haut et bas de la télécommande).
Dans le cas qui me concerne, j’ai l’intention d’utiliser le module comme dimmer d’éclairage indirecte avec actuellement 2X6 LEDs.
Les premiers tests faits avec une alimentation réglable de 0/24 volts 0/2 AMP constant montrent les limites d’utilisation du système tel que.
bien prendre en compte que c'est une alim de labo avec tension et courant réglable.
actuellement réglée à 24 volts et 2 AMP pour les tests si dessous et une fois le courant de 2 AMP atteint la tension chute pour limiter le courant.
A partir du moment où les deux rampes de LEDs fonctionne simultanément et avec la même intensité (ici sur le canal R et B), tous va bien, l’intensité est limitée à 1AMP par rampe, mais si une des deux rampe est diminué, l’autre augmente d’intensité vu les 2 AMP régulé de l’alimentation.
Dans ce cas d’espèce, la rampe de LEDs qui reçois par exemple 0,5 AMP est à l’abri, mais l’autre qui est plein pot va recevoir en lieux et place de 1 AMP non pas 1,5 AMP mais à ce moment une alimentation de 24 Volts vu que l’intensité n’a pas atteint la limite de 2AMP.
La solution serait de placer un strap sur les portes des mosfet des deux canaux utilisés pour enrayer le problème.
Mesure de la dérive en température.
Test avec les deux rampes équivalentes fixée à 750 milli / par rampe, soit 1,5 AMP total, radiateur à 23 degrés, et 4600 lux (ponctuel)
Après quelque temps la température du radiateur est montée à 50 degrés.
L’intensité elle est montée à 1,730 AMP.
La mesure de la lumière est passée à 5190 lux.
La dérive est donc de 230 milli sur 24 volts pas loin de 10%.
Comme largement expliqué dans différent ouvrages sur les LEDs, l’alimentation doit dans tous les cas être à courant constant. Du moins si les LEDs sont utilisées aux maximums de leurs caractéristiques.
Le pour
Système de gradateur digital à microcontrôleur pas chère.
Suffisamment petit que pour être logé dans biens des coints.
Pour les amateurs d’effet RGB, télécommande bien fournie en fonctions diverses dons les touches DIY1, À DIY6 = 6 mémoires RGB (sur les 64 pas) .
Il y a la diode D1, en protection contre l’inversion de polarité sur entrée du régulateur 5V.
Le contre
Pas de système de compensation de dérive dû à l’échauffement des LEDS.
Il n’y a pas de fusible de protection, en prévoir un en aval.
Il n’est pas étonnant de ce fait que la télécommande fonctionne correctement dans la pièce au démarrage, et qu’après une fois le système en fonction, la portée soit relativement diminuée par le parasitage de l’ensemble du système du au manque de découplage.
Reste encore à faire :
Explication de fonctionnement des 44 boutons de la télécommande.
Les tests avec le luxmètre / températures / consommation.
Ajout de --> Il y a un point que j’ai négligé et qui a toute son importance, ce sont les réflecteurs ou optiques.
Quelque soit la source le réflecteur doit être adapté, et en matière de LEDs, le réflecteur martelé et chromé type peau d’orange donne un spot plus doux par rapport au miroir.
Dans le contexte d’un éclairage indirect et puissant, l’angle nécessaire pour masquer le faisceau direct, nécessite le
renvoi vers le plafond ou mur avant de la partie de lumière rayonnée vers l’arrière.
Lors de mes tests préliminaires non consigné ici, j’avais configurer les LEDs en 4 rangées de 3, et près du bord du refroidisseur pour pouvoir placer un miroir portatif de renvoi.
Nul doute, le gain est considérable.
Afin de ne pas trop charger et aussi sortir du sujet, Mon projet final se trouve sur le topic
http://www.forum.led-fr.net/forum/viewt ... =11&t=1747
Le luxmètre étant utilisé pour des mesures ponctuelles, je vais voir à trouver un système repère pour avoir des résultats significatifs.
Leds utilisés 12 fois (2X6)Cree XR-E Q5 Emitter on Premium Star (228LM at 1A).
A la lumière de ses tests, si je devais faire un système à composant discret, j’envisagerais de placer une boucle de contre réaction dans la commande du rapport cyclique du générateur de pulse de façon à contenir la dérive.
L’instabilité en température des power LEDs n’envient en rien celles des transistors dans les montages à basse fréquence.
Remède possible:
Reste à exploiter le montage de JC-Omega et remplacer le mosfet in situ par le PT4115 et de ce fait avoir une limitation maximum paramétrable.
L’avantage serait une seule boite pour l’ensemble avec une limite de 1,2A 30 volts par canal max rating.
Voilà pour la suite de l’étude si je trouve le PT4115 ou similaire, quoique la version de DX est peut-être la moins chère.
Lors des tests, j’ai accidentellement décollé l’optique d’une LED et de plus elle est tombée à terre du coté de la confiture.

Vu que après nettoyage la lumière avait perdu de son éclat vu que l’optique n’est pas polis face intérieur mais touche le gel et de ce fait le défaut ne se voit pas. la lumière toujours de même température de couleur, j’ai entrepris d’enlever le gel pour voir le résultat.

Si si je suis comme ça !

L’ors de l’intervention, j’ai alimenté la LEDS par moment j'uste le premier pas sur les 64 pour voir la différence, et là très surpris j’ai constaté que sans le gel, la couleur virait au jaune.

Cela se voit sur la LED de gauche de white à warm white
je ferais un test de comparaison en puissance avec le luxmètre.
Après nettoyage j’ai recollé l’optique à la super glu et elle n’a pas changé depuis 15 jours.

J’imagine qu’avec le temps l’oxydation devrait faire son œuvre quoique les vapeurs de syano-acrilate n’aient rien fait l’ors du collage.

Vos réactions sont les bienvenues.
Amicalement
Henri
review final demain.