Bonjour,
dans la plupart des cas, les blocs se mettent en défaut de batterie, puis 3 mois plus tard (ou après un appui sur le bouton test), les blocs effectuent à nouveau un test et sont à nouveau ok. Je pense donc qu'il s'agit d'une défaillance provenant du micro contrôleur.
Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qui ?
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ptitjof
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ptitjof
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Re: Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qu
Bonjour,
j'ai à nouveau récupéré un bloc de secours dont le CI date du 5 juillet 1971. Il n'est donc pas tout neuf! Il s'agit d'un luminox LNE 130, d'un flux de 30 lumens, autonomie 1h, IP553 (bloc étanche). Contrairement aux blocs luminox du marché actuel, celui-ci est en acier et verre (donc relativement lourd). Il n'est pas débrochable (raccordements sur dominos dans "le vide". Je pense que les accus sont HS mais je l'ai cependant mis en charge... Particularité de ce bloc, il possède à côté de son presse-étoupe un bouton poussoir (étanche): quelqu'un sait-il à quoi il peut servir (test)?
Voici le bloc de face:
et l'étiquette:
Quelqu'un en a-t-il déjà vu?
j'ai à nouveau récupéré un bloc de secours dont le CI date du 5 juillet 1971. Il n'est donc pas tout neuf! Il s'agit d'un luminox LNE 130, d'un flux de 30 lumens, autonomie 1h, IP553 (bloc étanche). Contrairement aux blocs luminox du marché actuel, celui-ci est en acier et verre (donc relativement lourd). Il n'est pas débrochable (raccordements sur dominos dans "le vide". Je pense que les accus sont HS mais je l'ai cependant mis en charge... Particularité de ce bloc, il possède à côté de son presse-étoupe un bouton poussoir (étanche): quelqu'un sait-il à quoi il peut servir (test)?
Voici le bloc de face:
et l'étiquette:
Quelqu'un en a-t-il déjà vu?
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manu231977
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Re: Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qu
Salut Ptijof, on ne peut pas voir les photos de ton bloc luminox, les fichiers ont disparu du forum
Essaye de les remettre.
Essaye de les remettre.
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ptitjof
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manu231977
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Re: Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qu
Salut à tous,
Aujourd'hui je vais vous parler des BAES "modernes", les "tout led" comme il ne se vend plus que celà maintenant.
Et plus particulièrement ceux de la game de chez URA, les URALIFE et URAONE.
Hormis l'esthétique qui est loin d'être une réussite pour cette nouvelle gamme (encore du galbé mais cette fois ci dans l'autre sens comme les affreux 60825G de chez Legrand et une forme trapézoidale du fond du boîtier faisant encore plus "verrue" en montage plafond), voici les principaux points négatifs et positifs que j'ai constatés sur ces blocs:
Avantages :
- consommation réduite à 0.7W pour la gamme uraLIFE et 1.2W pour la uraONE
- éclairage à demi-flux en veille par les leds faisant office de lampes de secours (sorte de permanent à flux réduit en charge qui permet d'éclairer un peu dans l'obscurité si une étiquette verte n'a pas été collée sur le bloc)
- diffuseur interne longitudinal de la lumière devant les leds pour la gamme uraLIFE pour imiter un petit tube fluorescent (effet à moitié réussi)
- système de clipsage et déclipsage très pratique du bloc sur sa patere qui permet un verouillage et un déverouillage facile quelque soit le coté par lequel on accède au bloc avec un tournevis
- diffuseur en plastique bleuté conçu pour le pas jaunir
Inconvénients:
- Le témoin SATI vert reste allumé fixe pendant un test (le légendraire témoin vert qui clignotait pendant un autotest a donc disparu), difficile de voir si un bloc est en veille ou en test si il y a beaucoup de lumière dans le local, on pourrait même croire que le bloc est "planté" et qu'il ne repasse plus en veille (situation vécue sur des vieux blocs qui étaient des vrais NP)
- Le diffuseur n'est pas assez haut et par conséquent il n'y a pas beaucoup de flux qui part sur les cotés du bloc, donc plus d'éclairage vers le bas lorsqu'un bloc est fixé en applique sur un mur. Tout le flux passera par l'etiquette verte qui sera collée sur le bloc et qui en mangera une bonne partie (et oui c'est aussi ça un bloc "écologique"). De toute façon les leds CMS utilisées ayant un cone d'éclairement directif il n'y pas de lumière à 360° comme sur les anciennes petites lampes à incandescence.
- La batterie est encore au NiCd (Made in China et donc plus de marque SAFT), alors que du NiMh serait bien plus efficace (la norme l'autorisant depuis peu).
- Le bouton interne "TEST" a disparu, bien pratique pour tester un bloc en local et il servait aussi à initialiser l'heure des test sur les anciennes gammes (bien pratique dans les lieux où les tests peuvent gêner à certaines heure comme dans les salles de projection
D'une manière générale le fabricant a privilégié l'esthétique à la technique sur ces blocs, c'est bien dommage pour une marque qui a toujours su de démarquer techniquement, mais bon il faut bien faire des choix stratégiques sur un marché de produits "jettables".
Aujourd'hui je vais vous parler des BAES "modernes", les "tout led" comme il ne se vend plus que celà maintenant.
Et plus particulièrement ceux de la game de chez URA, les URALIFE et URAONE.
Hormis l'esthétique qui est loin d'être une réussite pour cette nouvelle gamme (encore du galbé mais cette fois ci dans l'autre sens comme les affreux 60825G de chez Legrand et une forme trapézoidale du fond du boîtier faisant encore plus "verrue" en montage plafond), voici les principaux points négatifs et positifs que j'ai constatés sur ces blocs:
Avantages :
- consommation réduite à 0.7W pour la gamme uraLIFE et 1.2W pour la uraONE
- éclairage à demi-flux en veille par les leds faisant office de lampes de secours (sorte de permanent à flux réduit en charge qui permet d'éclairer un peu dans l'obscurité si une étiquette verte n'a pas été collée sur le bloc)
- diffuseur interne longitudinal de la lumière devant les leds pour la gamme uraLIFE pour imiter un petit tube fluorescent (effet à moitié réussi)
- système de clipsage et déclipsage très pratique du bloc sur sa patere qui permet un verouillage et un déverouillage facile quelque soit le coté par lequel on accède au bloc avec un tournevis
- diffuseur en plastique bleuté conçu pour le pas jaunir
Inconvénients:
- Le témoin SATI vert reste allumé fixe pendant un test (le légendraire témoin vert qui clignotait pendant un autotest a donc disparu), difficile de voir si un bloc est en veille ou en test si il y a beaucoup de lumière dans le local, on pourrait même croire que le bloc est "planté" et qu'il ne repasse plus en veille (situation vécue sur des vieux blocs qui étaient des vrais NP)
- Le diffuseur n'est pas assez haut et par conséquent il n'y a pas beaucoup de flux qui part sur les cotés du bloc, donc plus d'éclairage vers le bas lorsqu'un bloc est fixé en applique sur un mur. Tout le flux passera par l'etiquette verte qui sera collée sur le bloc et qui en mangera une bonne partie (et oui c'est aussi ça un bloc "écologique"). De toute façon les leds CMS utilisées ayant un cone d'éclairement directif il n'y pas de lumière à 360° comme sur les anciennes petites lampes à incandescence.
- La batterie est encore au NiCd (Made in China et donc plus de marque SAFT), alors que du NiMh serait bien plus efficace (la norme l'autorisant depuis peu).
- Le bouton interne "TEST" a disparu, bien pratique pour tester un bloc en local et il servait aussi à initialiser l'heure des test sur les anciennes gammes (bien pratique dans les lieux où les tests peuvent gêner à certaines heure comme dans les salles de projection
D'une manière générale le fabricant a privilégié l'esthétique à la technique sur ces blocs, c'est bien dommage pour une marque qui a toujours su de démarquer techniquement, mais bon il faut bien faire des choix stratégiques sur un marché de produits "jettables".
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manu231977
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Re: Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qu
ptitjof wrote:
Belle trouvaille que ce bloc étanche!
Par contre les photos sont en tres basse résolution, on ne peut pas lire la plaque signalétique et les références ainsi que le bouton
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fma38
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Re: Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qu
Bonjour,
Très intéressant, ce fil (même si je l'ai un peu lu en diagonale...).
Je voulais juste savoir si vous aviez vu passer un projet de réalisation d'une électronique pour BAES/H DIY, avec des fonctions type SATI ?
Je suis en train de construire, et tant qu'à faire, je voudrais intégrer quelques pseudo-spots au plafond qui feront office de BAEH.
Je développe un peu sur Arduino, et je pense qu'on peut réaliser ça à moindre frais. Mais j'aimerais avoir quelques infos sur les tests réalisés par les électroniques SATI. Qu'est-ce qui vous paraît indispensable pour un usage domestique ?
Merci d'avance pour toute piste.
Très intéressant, ce fil (même si je l'ai un peu lu en diagonale...).
Je voulais juste savoir si vous aviez vu passer un projet de réalisation d'une électronique pour BAES/H DIY, avec des fonctions type SATI ?
Je suis en train de construire, et tant qu'à faire, je voudrais intégrer quelques pseudo-spots au plafond qui feront office de BAEH.
Je développe un peu sur Arduino, et je pense qu'on peut réaliser ça à moindre frais. Mais j'aimerais avoir quelques infos sur les tests réalisés par les électroniques SATI. Qu'est-ce qui vous paraît indispensable pour un usage domestique ?
Merci d'avance pour toute piste.
Frédéric
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zeltron
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Re: Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qu
Bonjour,
Mais quesqu ils ont tous, a vouloir foutre de ces salo**ries de µC partout, même pour un éclairage de secours d'amateur ! si il s'agit juste de contrôler la continuité des lampes de secours , et de vérifier que les accus sont convenablement chargés , exit les µC, exit les galères de programmation, les composants devenus obsolètes au bout de 3 ans seulement ... quelques composants classiques suffisent , et les anciens systèmes SATI fonctionnais tres bien sans µC , avec que des composants classiques et traditionnels qui ne deviennent pas obsolètes :
-pour le controle de la continuitée des lampes de secours, le plus simple et le plus rudimentaire consiste a monter la veilleuse en série avec les lampes de secours (si ces dernières sont coupés ou absente, la veilleuse ne s'allumme plus ) ou, un peu plus futé en restant tres simple , le montage d'un transistor NPN avec une résistance entre base et coté + et les lampes de secours entre base et coté moins, en présence de lampes valides la tension base est quasi nulle, le transistor est bloqué, si le circuit lampes est coupé le transistor conduit, une diode zener peut fixer un seul de conduction différent si besoin , et une LED dans le circuit collecteur indiquera le défaut .
-pour le controle de la tension de charge des accus , un montague a peine plus compliqué, basé sur un circuit intégré ampli op en comparateur, ou un montage amplificateur avec des transistors , comparera la tension accus a une tension de référence obtenue avec une diode zener et une résistance ajustable , et fera conduire un transistor dans le collecteur duquel est placée une LED pour indiquer le défaut si la tension de charge est nulle ou anormale .
il faudra ensuite peut être quelques résistances connexes pour polariser correctement les transistors , et quelques condos antiparasite pour éviter d'éventuels déclencements intempestifs ...
bref, avec un circuit intégré quelques transistors et quelques diodes , archi courant et pouvant être de récupération , on peut réaliser une électronique sATI basique mais suffisante, sans µC, sans programmation
le montage "a composant discrets" et/ou "a ampli op" sera certe un peu plus encombrant , mais reste simple, ne coute pas cher, ne plante jamais, ne nécessite aucun outil informatique, et sera dépannable même dans 30 ans ...
P/S/Z
Mais quesqu ils ont tous, a vouloir foutre de ces salo**ries de µC partout, même pour un éclairage de secours d'amateur ! si il s'agit juste de contrôler la continuité des lampes de secours , et de vérifier que les accus sont convenablement chargés , exit les µC, exit les galères de programmation, les composants devenus obsolètes au bout de 3 ans seulement ... quelques composants classiques suffisent , et les anciens systèmes SATI fonctionnais tres bien sans µC , avec que des composants classiques et traditionnels qui ne deviennent pas obsolètes :
-pour le controle de la continuitée des lampes de secours, le plus simple et le plus rudimentaire consiste a monter la veilleuse en série avec les lampes de secours (si ces dernières sont coupés ou absente, la veilleuse ne s'allumme plus ) ou, un peu plus futé en restant tres simple , le montage d'un transistor NPN avec une résistance entre base et coté + et les lampes de secours entre base et coté moins, en présence de lampes valides la tension base est quasi nulle, le transistor est bloqué, si le circuit lampes est coupé le transistor conduit, une diode zener peut fixer un seul de conduction différent si besoin , et une LED dans le circuit collecteur indiquera le défaut .
-pour le controle de la tension de charge des accus , un montague a peine plus compliqué, basé sur un circuit intégré ampli op en comparateur, ou un montage amplificateur avec des transistors , comparera la tension accus a une tension de référence obtenue avec une diode zener et une résistance ajustable , et fera conduire un transistor dans le collecteur duquel est placée une LED pour indiquer le défaut si la tension de charge est nulle ou anormale .
il faudra ensuite peut être quelques résistances connexes pour polariser correctement les transistors , et quelques condos antiparasite pour éviter d'éventuels déclencements intempestifs ...
bref, avec un circuit intégré quelques transistors et quelques diodes , archi courant et pouvant être de récupération , on peut réaliser une électronique sATI basique mais suffisante, sans µC, sans programmation
le montage "a composant discrets" et/ou "a ampli op" sera certe un peu plus encombrant , mais reste simple, ne coute pas cher, ne plante jamais, ne nécessite aucun outil informatique, et sera dépannable même dans 30 ans ...
P/S/Z
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fma38
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Re: Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qu
2 points : comment gérer la charge correcte des accus avec contrôle du dV/dt pour éviter de les flinguer en 6 mois ? Et comment vérifier qu'ils tiennent encore la charge (le SATI faire une décharge complète de temps en temps ? Sans circuit dédié, ça ne me semble pas possible...
Frédéric
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zeltron
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Re: Un topics sur les BAES (bloc de secours) ça intéresse qu
Bonjour,
certe, les systèmes simpliste , sans µC , a base de transistors et circuits intégrés conventionnels ne savent pas gérer la charge des accus ni en calculer la capacitée et la bonne tenue de la charge , et en général ils se bornent a faire un test d'autonomie purement chronométrique (temporisation faisant s'allummer les lampes pendant une heure à peu près ronde, grace a un oscillateur R-C suivi d'un compteur... )
Mais, de toutes façon , même les système SATI à µC , du moins la plupart, se bornent eux aussi a faire un test d'autonomie chronométrique (pendant 1 h puisque tel est la norme ) la gestion de charge et la mesure reelle de la capacitée et de la tenue de la charge ( tres difficilement réalisable sans µC je le concède) ne sont encore réservé qu'a des chargeurs sophystiqué , du type de ceux pour modèles réduits de compét ...
Par ailleurs, bon nombre de blocs autonome d'ancienne conception (a une époque ou il n'y avais pas de µC parce c'étais hors de prix ou introuvable , en parlant de blocs qui datent de 30 ans ) fonctionnais bien, et duraient bien plus que 6 mois ... Ceci pourvu qu'un régime de charge lente soit adopté, et que des essais d'autonomie soient réalisés de temps en temps , essai réalisé manuellement parce il n'y avais pas de SATI sur d'aussi anciens appareils , les accus pouvais bien durer 5 à 10 ans sans problème (charge a courant constant, et a C/20 ...)
P/S/Z
certe, les systèmes simpliste , sans µC , a base de transistors et circuits intégrés conventionnels ne savent pas gérer la charge des accus ni en calculer la capacitée et la bonne tenue de la charge , et en général ils se bornent a faire un test d'autonomie purement chronométrique (temporisation faisant s'allummer les lampes pendant une heure à peu près ronde, grace a un oscillateur R-C suivi d'un compteur... )
Mais, de toutes façon , même les système SATI à µC , du moins la plupart, se bornent eux aussi a faire un test d'autonomie chronométrique (pendant 1 h puisque tel est la norme ) la gestion de charge et la mesure reelle de la capacitée et de la tenue de la charge ( tres difficilement réalisable sans µC je le concède) ne sont encore réservé qu'a des chargeurs sophystiqué , du type de ceux pour modèles réduits de compét ...
Par ailleurs, bon nombre de blocs autonome d'ancienne conception (a une époque ou il n'y avais pas de µC parce c'étais hors de prix ou introuvable , en parlant de blocs qui datent de 30 ans ) fonctionnais bien, et duraient bien plus que 6 mois ... Ceci pourvu qu'un régime de charge lente soit adopté, et que des essais d'autonomie soient réalisés de temps en temps , essai réalisé manuellement parce il n'y avais pas de SATI sur d'aussi anciens appareils , les accus pouvais bien durer 5 à 10 ans sans problème (charge a courant constant, et a C/20 ...)
P/S/Z